Légendes et histoires TaBoCualngeyennes

Mais c'était pour faire un massage si si promis...

C'est ce que je me disais aussi...

vous permettez que je remette ma côte de maille...

Eredena a écrit:

Et voilà, c'est toujours les mêmes à qui on va débiter de galantes niaiseries ... Je suis positivement dégoutée. Tiens, puisque c'est comme ça j'abandonne les hommes et je vais me mettre à préférer les filles ! Voilà !

C'est vrai ca, ma petite super nova ... tous ces mâles ne sont que des rustres ... viens faire un technobibi à tata Maestria. (cf. canal+)

Je peux venir avec vous??

Alors là franchement, vous me voyez outrè....

Faites de la poésie, faites des rimes, faites des jolies phrases et y en aura toujours un pour pervertir votre oeuvre..

bouhhh sniff, m'en vais noyer mon chagrin devant un bon fût

Technopupuce à son lumi a écrit:

Je peux venir avec vous??

Mais ??!!
Dites moi trés chère pupuce, vous êtes la techno épouse , vous avez un homme qui prend soin de vous, vous protège et vous aime. Allons, allons que se passe t il pour que vous en arriviez à cette solution ?
Auriez vous un soucis ?

Ah ben ouais mais bon......

Y'en a vraiment qui savent plus quoi inventer pour se donner en spectacle!?

Je te zute!! Le technoseigneur étant le plus souvent occupé à cuver sous toutes les tables de la cantina.... Il faut bien que moi aussi je m'amuse!

OK, le devoir m'appelle, je me mets à l'eau! (devoir conjugal, s'entend...)

Sa sainteté a raison, elle a le droit de s'amuser.
"Sage est l'homme qui a su garder son ame d'enfant "

Poil aux dents!

Des poil sur les dents? Baaah, c'est dégeulasse!

je ne veux meme pas savoir à qui ils appartiennent ...

Moi c'est surtout d'où ils viennent que je ne veux pas savoir...
(Après quelques jours d'absence sur le forum, je constate avec joie que la verve poétique de mes chers frères et soeurs n'est pas retombée!)

Et bien que n'ayant pas encore eu le temps de répondre aux avances qui m'ont été faites, je n'en suis pas moins touchée de cette proposition si spontanée...

Gwyonn? Où est-ce qu'il est passé? Youhou !

J'ose réclamer une suite à cette histoire que vous nous avez conté l'autre jour, beau seigneur ! Quand pourrons-nous rêver à nouveau?

La suite ne saurait tarder, nos meilleurs archivistes parcourent les kilomètres de bibliothèque engrangés durant de longues années afin de retrouver les pages manquantes.

Pour le moment, seule la première page de la légende des amants bleus a été retrouvé mais ils nous font savoir qu'ils sont proches du but...

Eh moi je la connait la suite:
ils vécurent heureux et eurent plein de petits poivrots

Toujours pareil ces histoires... Elles sont toutes inventées par les fabricants de mouchoirs pour remplir leur caisses!

Très cher baron, je m'en veux de vous contredire ainsi mais, et sans vouloir révéler la fin de l'histoire, nos archivistes nous font savoir qu'ils doutent du bien fondé de votre affirmation

Baron Archibald a écrit:

Eh moi je la connait la suite:
ils vécurent heureux et eurent plein de petits poivrots

Quand bien même la fin de votre message semble se vérifier. Nos archivistes restent sur leurs quant-à-soi pour le moment.

Baron Archibald a écrit:

Toujours pareil ces histoires... Elles sont toutes inventées par les fabricants de mouchoirs pour remplir leur caisses!

Petit problème de complexe de la page blanche, enfin je n'arrive pas a trouver une suite cohérente à l'histoire et m'est avis que je vais devoir la reprendre depuis le début.
donc il faudra attendre un petit peu avant d'avoir droit à la légende des amants bleus.

Pour vous faire patienter, je m'en vais vous en conter une autre. En voici le premier chapitre, le reste devrait suivre sous peu.

En cette journée de jeudi après-midi, Sir Gwyonn se trouvait attablé près de la cheminée de la cantina, sirottant un verre. Tourné vers la fenêtre (par laquelle on apercevait un ciel gris et de grosses gouttes de pluie huileuse tombant lourdement sur le sol), il avait les yeux plongés dans le vague. En ce moment, il aurait du être auprès de sa douce mais voilà, cette satanée canasse de vaisseau n'a encore pas voulu démarrer.

Pour une énième journée consécutive, enseignants et babby-sitters étaient en grève. C'est pourquoi, la cantina résonnait d'un bruit peu courant en ce lieu : les cris et piaillements des enfants ennervés de ne pouvoir jouer dehors. Alors que tout le monde était parti à l'aventure par delà le système, voir la galaxie. Et on les comprend bien, vue l'aigusité du son mélodieux des voix enfantines, et surtout la soirée de la veille qui s'est terminée tard, enfin tôt dans la matinée.

Gwyonn se tourna vers le barman, et voyant son air tout aussi catastrophé que le sien, se prit la tête entre les mains, appuyant son front sur la table grasse du schlipak renversé de la veille. Se levant, il prit sa plus profonde voix grave et s'époumona :
- La **bip** les mioches !!!!!!!!!!

Silence dans la salle, les enfants se tournent vers lui, n'osant plus bouger d'un pouce. Les mentons commencent à tremblotter, une bonne centaine de paire d'yeux humides le regardent (l'effet de l'alcool ne s'est pas encore résorbé).
- Les enfants, vous êtes grands maintenant, vous n'allez pas pleurer quand même... non.... non.... non.... (et m**bip**, me voilà bien partit pensa-t-il en lui-même). Bon venez vous assoir près de moi, je vais vous raconter une histoire.

Au temps jadis, alors que cette terre n'avait pas encore eu à subir les affres des guerres thau'mathurgyques, il y avait au manoir de TerG'hylion, un seigneur resté veuf avec ses trois enfants, deux fils et une fille.

De part les traditions séculaires en vigueur sur l'ile de Klughnia, c'est au plus jeune des enfants que revenait les terres et les titres de ses parents. C'est pourquoi les deux ainés, de plusieurs années plus vieux que le dernier fils, furent envoyés très tôt à l'école, où ils apprennaient et retenaient tout ce qui leur était enseigné. A la fin de leurs études, les deux jeunes gens étaient si savants que de hautes fonctions les attendaient : le premier en temps que Grand Précheur du culte de Amirman et sa soeur comme Intendante auprès du Régent du comté de Milmanduïl.

Leur jeune frère, Cahlten de son prénom, fut aussi envoyé à l'école dès son plus jeune âge. Comme il semblait ne rien apprendre, son père en reporta la faute sur ses maîtres et l'envoya donc auprès des grands penseurs de la capitale. Une fois l'an, il revenait à la maison, et quand son père voulait s'enquérir de ses progrès, il se désespérait de voir que son fils en était toujours au même point ; malgré ses quinze printemps, il en était toujours à déchiffrer son abécédaire.
- Comment, lui disait son père, seras-tu donc toujours un sot mon pauvre fils que je n'en dorme pas la nuit alors que c'est toi qui devra reprendre la gérance de notre domaine ? Toi qui as deux frères si brillants, n'en conçois-tu pas quelque honte ?
- Je ne suis peut-être pas aussi sot que tout le monde le croit, répondit un jour l'enfant à son père. Laissez moi faire visite à mon frère, le Grand Précheur, et je lui demanderait de me donner les Excellences [note: les Excellences étaient une distinction donnée aux personnes instruites].
- Les Excellences ! Ne te moques point de moi mon fils, ou gare...
- Je ne me moques pas de vous mon père et je sais ce que je dis. Au revoir, et que les dieux vous gardent sous leur protection.

Prenant ses affaires, il se mit en route à destination de Durangal capitale du duché de Coanthalec. Arrivé à bon port, il se mit en devoir d'obtenir un rendez-vous auprès de son frère.
- Que demandez-vous, jeune homme? lui dit le Grand Précheur quand il fut introduit en sa présence, ne l'ayant point reconnu de part les années qui s'étaient écoulées.
- Je viens vous demander les Excellences, Monseigneur.
- Cela me semble très bien mais il faut d'abord que vous me montriez ce que vous savez.
- Vous me voyez aussi prêt que je puisse l'être, voici mon livre, répondit-il, présentant son abécédaire à son frère.
- Est-ce là bien votre livre ? dit le prélat étonné. Vous n'en avez point d'autre ?
- Je n'en ai jamais eu d'autre, Monseigneur.
- Bien, vous reviendrez ce soir pour le souper et nous nous occuperons de vos Excellences.

Cahlten s'assura d'un logement pour la nuit, puis à six heures sonnant, il revint voir son frère. Ce dernier, voulant s'amuser aux dépends de ce qu'il pensait être un pauvre idiot, avait invité à souper plusieurs notables de la ville ainsi que quelques membres de son ordre. Vers la fin du repas, le prélat indiqua à ses convives qu'il les avait fait venir pour assister à l'examen du jeune homme ici présent venu lui demander les Excellences.
- Jeune homme, venez ici me présenter vos livres, afin que je vous interroge.

Cahlten s'approcha avec assurance et présenta son livre au Grand Précheur. Celui-ci le prit et s'adressa aux autres convives :
- Voyez messieurs, voici le seul livre que notre jeune homme ai jamais connu (Et tout le monde de rire, en voyant le titre de l'ouvrage). Et tu oses venir ainsi me demander de te faire passer cet examen, pauvre âne.
- N'est pas forcément l'âne celui que l'on pense Monseigneur ; interrogez-moi.
- En plus d'être un sôt, te voici donc insolent. Mais je te pardonnerais pour cette fois. Se tournant vers les autres convives, il dit : « Que chacun de vous lui pose une question, et nous verrons s'il est à même de répondre de manière satisfaisante. »

Chaque personne présente lui adresse alors une question, et à chacune d'elle Cahlten garda un silence absolu. Les mots âne, imbécile, idiot (et bien d'autres encore) pleuvaient sur lui comme giboulées au printemps, et l'on riait et on le rabaissait tant que l'on pouvait.
- Je demande à vous interroger à mon tour dit alors Cahlten, vous posant à chacun une question, et nous verrons bien qui de nous sera le plus idiot.

La proposition fut acceptée, et Cahlten posa une devinette à chacune des personnes présentes, et pas une ne put lui donner la réponse (et l'on riait beaucoup moins dés à présent).
- he bien ! reprit-il, je vais vous donner les réponses non seulement de chacune de mes questions mais aussi à chacune des votres.

Et il fit ainsi qu'il venait de le dire, dans l'ordre et sans se tromper ni hésiter une seule fois. Il fit tant et si bien que plus personne ne riait ni se moquait dans la salle. Il se tourna ensuite vers son frère et lui adressa, à lui aussi, une devinette à laquelle ce dernier ne put répondre. Pour se tirer de l'embaras dans lequel il se trouvait, le prélat dit alors :
- Je consens à vous remettre les Excellences, à vous qui venez de prouver que vous étiez plus savant que n'importe lequel d'entre nous.
- Moi, recevoir cela de la part d'un âne tel que vous ! J'en serais bien marri, répondit Cahlten avec dédain.

Et sur ces paroles, il s'en alla, laissant ses hôtes plus étonnés et désappointés les uns que les autres. Il revint droit chez son père qui lui demanda :
- Eh ! bien, mon fils, as-tu vu ton frère, le Grand Précheur du culte de Amirman.
- Oui, j'ai bien vu mon frère, et je puis vous dire qu'il existe peu d'âne tel que lui sur cette terre.
- Comment oses-tu parler ainsi du Grand Précheur ? C'est de ton frère qu'il s'agit !
- Il n'y a que Vérité à sortir de ma bouche, mon père ; mais je veux, à présent, aller voir ma soeur en Milmanduïl. Peut-être saura-t-elle quelque chose.

Et c'est ainsi que Cahlten prit à nouveau la route pour se rendre à Urérion. Rendu sur place, il eu une entrevue avec sa soeur, et tout se déroula, de point en point, comme avec son frère à Durangal. Revenu chez son père, ce dernier lui tint ce discours :
- Alors mon fils, as-tu vu ta soeur ? Comment se porte-t-elle ?
- Elle est en bonne santé mon père, mais aussi sotte que mon frère est idiot. Je m'en vais de ce pas parcourir le monde afin de voir s'il existe quelque part des hommes savants auprès de qui je pourrais apprendre quelque chose.

Comme c'est beau! Mais c'est moi ou l'histoire n'est pas finie?

La suite la suite!
Gwyonn Bach devrait être nommé conteur officiel de la Confrérie et serait chargé de relater ses haut faits!

Ben je comptais écrire la suite cette après-midi, mais je me suis mangé 1500 copies à corriger donc j'ai lège pas trop eu le temps.

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Promis ça va venir
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1500 copies
c'est les partiels?