Les soirées endiablées de la cantina

Tout a commencé tôt dans la soirée (enfin pour certains piliers de la cantina, on devrait plutôt dire tôt dans la matinée, voire l'avant-veille), les membres de la technoconfrérie, comme à leur habitude se retrouvèrent assis autour de différentes tables, celle des verdonien-forever ou bien encore celle des nectar-lovers. Alors que la nuit avançait et que l'on s'acheminait vers une fin de soirée tranquille et sans heurt, l'une des personnes présente lança malencontreusement LA remaque à ne pas faire :
- les amateurs de verdonien, ce sont de toute façon des buveurs de pisse d'âne.

Grand silence dans la salle, les habitués comme les petits nouveaux s'écartaient lentement mais surement du lieu où se deroulerait le pugilat. Les esprits s'échauffe, des remarques sont faites sur la préciosité des amateurs de nectars, des noms d'oiseaux volent aux visages dans une tornade de plumes au moment où ils s'écrasent lamentablement.

Ne voulant point se fâcher avec sa douce, Sire Gwyonn tente, habilement (comme à son habitude), de calmer le jeu et lance à l'assemblée :
- Mes dames, mes seigneurs, ne nous battons point pour de si frivoles désidératas. Pour vous réconcilier, je vous propose un nouveau jeu : à celui qui chantera la plus paillarde des chansons je lui offrirais un mois de tournées de sa boisson préférée.
Et montant sur la table, il entonne d'une voix parfaite :

Les chansons de salle de garde
Ont toujours été de mon goût,
Et je suis bien malheureux, car de
Nos jours on n'en crée plus beaucoup.
Pour ajouter au patrimoine
Folklorique des carabins
Folklorique des carabins
J'en ai fait une, putain de moine,
Plaise à Dieu qu'elle plaise aux copains,
Plaise à Dieu qu'elle plaise aux copains.

Ancienne enfant d'Marie-salope
Mélanie, la bonne au curé,
Dedans ses trompes de Fallope,
S'introduit des cierges sacrés.
Des cierges de cire d'abeille
Plus onéreux, mais bien meilleurs,
Plus onéreux, mais bien meilleurs,
Dame! la qualité se paye
A Saint-Sulpice, comme ailleurs.
A Saint-Sulpice, comme ailleurs.

Quand son bon maître lui dit : " Est-ce
Trop vous demander Mélanie,
De n'user, par délicatesse,
Que de cierges non encor bénits ? "
Du tac au tac, elle réplique
Moi, je préfère qu'ils le soient,
Moi, je préfère qu'ils le soient,
Car je suis bonne catholique
Elle a raison, ça va de soi.
Elle a raison, ça va de soi.

Elle vous emprunte un cierge à Pâques
Vous le rend à la Trinité.
Non, non, non, ne me dites pas que
C'est normal de tant le garder.
Aux obsèques d'un con célèbre,
Sur la bière, ayant aperçu,
Sur la bière, ayant aperçu,
Un merveilleux cierge funèbre,
Elle partit à cheval dessus.
Elle partit à cheval dessus.

Son mari, pris dans la tempête
La Paimpolaise était en train
De vouer, c'était pas si bête,
Un cierge au patron des marins.
Ce pieux flambeau qui vacille
Mélanie se l'est octroyé,
Mélanie se l'est octroyé,
Alors le saint, cet imbécile,
Laissa le marin se noyer.
Laissa le marin se noyer.

Les bons fidèles qui désirent
Garder pour eux, sur le chemin
Des processions, leur bout de cire
Doiv'nt le tenir à quatre mains,
Car quand elle s'en mêl', sainte vierge,
Elle cause un désastre, un malheur.
Elle cause un désastre, un malheur.
La Saint-Barthélemy des cierges,
C'est le jour de la Chandeleur.
C'est le jour de la Chandeleur.

Souvent quand elle les abandonne,
Les cierges sont périmés;
La saint' famill' nous le pardonne
Plus moyen de les rallumer.
Comme ell' remue, comme elle se cabre,
Comme elle fait des soubresauts,
Comme elle fait des soubresauts,
En retournant au candélabre,
Ils sont souvent en p'tits morceaux.
Ils sont souvent en p'tits morceaux.

Et comme elle n'est pas de glace,
Parfois quand elle les restitue
Et qu'on veut les remettre en place,
Ils sont complètement fondus.
Et comme en outre elle n'est pas franche,
Il arrive neuf fois sur dix
Il arrive neuf fois sur dix
Qu'sur un chandelier à sept branches
Elle n'en rapporte que six.
Elle n'en rapporte que six.

Mélanie à l'heure dernière
A peu de chances d'être élue;
Aux culs bénits de cett' manière
Aucune espèce de salut.
Aussi, chrétiens, mes très chers frères,
C'est notre devoir, il est temps,
C'est notre devoir, il est temps,
De nous employer à soustraire
Cette âme aux griffes de Satan.
Cette âme aux griffes de Satan.

Et je propose qu'on achète
Un cierge abondamment béni
Qu'on fera brûler en cachette
En cachette de Mélanie.
En cachette car cette salope
Serait fichue d'se l'enfoncer
Serait fichue d'se l'enfoncer
Dedans ses trompes de Fallope,
Et tout s'rait à recommencer.
Et tout s'rait à recommencer.

OUias! Bravo!!!
en voici deux pour les connaisseurs:

La chanson du hérisson

Zoophilie pour sûr est un gros atout
Mais il est de mon devoir de vous prévenir
Avec la pluspart, y a pas d'problème, on peut l'dire
Mais le hérisson, lui, peut pas être ... du tout

REFRAIN:

Les épines sur son dos sont trop pointues pour nous
Elles vous f'ront mal aux pires endroits possibles
Le résultat, j'pense, vous l'trouverez tous horrible:
Le hérisson, lui, peut pas être ... du tout


Avec un ch'val, souvent ça vous étonne
Un éléphant aussi, même si y pèse une demi tonne
Même une souris (bien qu'assez petit soit son trou)
Mais le hérisson, lui, peut pas être ... du tout

REFRAIN 2:

Les épines sur son dos sont trop épaisses au bout
Z'aurez rien sauf une piqûre qui fait mal
Il a un trou imprenable quand il se comme en une balle
D'où le hérisson, lui, peut pas être ... du tout


Serrer une vache pendant qu'elle fait meuh meuh
Ca s'ra sûrement amusant pour vous deux
Pouvez même vous faire un tigre si z'avez pas les foies
Mais le hérisson, lui, peut pas être ... du tout

REFRAIN 3:

(Donc pour le hérisson, qu'est pointu comme pas poss'
Vous réussirez jamais à passer son imprenable derrière
Nez contre cul, roulé en boule
Le hérisson, lui, peut pas être ... du tout


L'poisson rafraichit, même s'il est un peu mouillé
Et un chien ou un chat peuvent être bien plus que d'simples familiers
Même la Girafe ( quoiqu'elle est très grande)
Mais le hérisson, lui, peut pas être ... du tout

REFRAIN

Même le serpent vous pouvez, quoique son poison puisse tuer
Combien l'chameau pourra rouler sa bosse, c'est étonnant
L'escargot est possible si vous rampez suffisemment lentement
Mais le hérisson, lui, peut pas être ... du tout

REFRAIN

Pouvez violer un paresseux mais ça prendrai tout une nuit
Avec un requin, ça s'rait plus rapide, mais la bête pourrait mordre
On a déjà parlé du ch'val, mais ça va dans l'ordre
Mais le hérisson, lui, peut pas être ... du tout

REFRAIN

Pouvez aussi prendre un putois si vous supportez l'odeur
Même une huitre si vous enl'vez la coquille
Un troll peut valoir son pesant de diamants si z'avez pas peur
Le hérisson, lui, peut pas être ... du tout

REFRAIN

Si vous êtes prêts à quelques cabrioles, la loutre est envisageable
Ou encore bourrer un porc avant de l'faire passer à table
Ou bien r'tourner un tapir, quoiqu'il y ait des chances pour qu'ça vous effraie
Mais le hérisson, lui, peut pas être ... du tout

Refrain

Un bourdon du mage a un noeud au bout
un noeud au bout, un noeud au bout
Un bourdon du mage a un noeud au booouut
Ce qu'il fait avec, c'est de la magie

Un bourdon du mage a un noeud au bout
Et des runes courent tout le long du manche
C'est long et fier et dur et fort
C'est la fierté de son art

Reprendre le refrain

Un bourdon du mage a un noeud au bout
Quelques-uns sont faits de poirier qui pense
Avec une savant paire, vous serez libres, à l'air
Vous deviendrez aveugles, oui vous le deviendrez

Reprendre le refrain

Un bourdon du mage a un noeud au bout
Ça ressemble à une noix d'argent
Si vous bêlez quand il a pris votre place
Il vous l'explose dans le derrière

Reprendre le refrain

Un bourdon du mage a un noeud au bout
Et l'étrange grenouille sait que c'est vrai
Quand votre bourdon est courbé, alors les sorts que vous lancez
Peuvent vous revenir dessus

Joli mimi tout plein...

A la Pentecôte quand l'herbe est trop haute
Moi je la coupe à la faux
Ma femme l'entasse au râteau
Et l'curé la broute
Et l'curé la broute
Mais le grand vicaire de santé précaire
N'a jamais pu la brouter
N'a jamais pu la brouter
C'est ce qui l'emmerde

Quand se paralyse la cloche de l'église
Moi j'dis qu'il faut réfléchir
Ma femme dit qu'il faut agir
Et l'curé la branle
Mais le grand vicaire de santé précaire
N'a jamais pu la branler
C'est ce qui l'emmerde

Chez nous sur nos crânes, foin de bonnets d'ânes
Moi je porte des képis
Ma femme porte des bibis
L'curé les calottes
Mais le grand vicaire de santé précaire
N'a jamais décalotté
C'est ce qui l'emmerde

Quand sur notre place on vend de la glace
Moi je dis : j'veux pas transir
Ma femme dis : j'veux pas grossir
Et l'curé la suce
Mais le grand vicaire de santé précaire
N'a jamais pu la sucer
C'est ce qui l'emmerde

Si par aventure, arrive une voiture
Moi j'm'occupe du moteur
Et ma femme des visiteurs
Et l'curé des charges
Mais le grand vicaire de santé précaire
N'a jamais pu décharger
C'est ce qui l'emmerde

S'il se présente une flaque inopportune
Moi j'évite en vieux lascar
Ma femme fait des grands écarts
Et l'curé la saute
Mais le grand vicaire de santé précaire
N'a jamais pu la sauter
C'est ce qui l'emmerde

Quand il faut remettre du tulle aux fenêtres
Moi je porte les anneaux
Ma femme porte les rideaux
Et l'curé la tringle
Mais le grand vicaire de santé précaire
N'a jamais pu la tringler
C'est ce qui l'emmerde

Bon, encore une pour la route, faut lire jusqu'à la fin...

La première fois quand je l'ai vue
J'ai tout de suite remarqué son regard
J'en étais complètement hagard

Dans ce jardin du Luxembourg
Je me suis dit : il faut que je l'aborde
Pour voir si tous les deux on s'accorde

J'ai déposé mon baluchon
Alors j'ai vu tes gros yeux doux
J'en suis dev'nu un peu comme fou

Quand je t'ai dit que tu me plaisais
Que j'aimerais bien te revoir
Tu m'as donné rendez-vous le soir

Et je t'ai dit Oh Pénélope
Que tu étais une sacrée belle fille
Que je t'aimerai toute ma vie

Quand dans ce lit de marguerites
Tu m'as caressé doucement la tête
Ma vie entière est une fête

Et sous les regards de la foule
J'ai posé ma main sur ta main
Vous voyez bien que ce n'est pas malsain

A l'ombre des eucalyptus
Je t'ai dit : je veux que tu me suives
Je te sentais d'humeur lascive

Alors comme ça dans les tulipes
Tu m'as fait une petite promesse
Gage d'affection et de tendresse

Si notre amour devait céder
Je n'aurais plus qu'à me faire prêtre
Je ne pourrais jamais m'en remettre

Car si un jour notre amour rouille
Je m'en mordrai très fort les doigts
Chérie vraiment je n'aime que toi

Pour ceux qui ne trouveraient pas celà très grivois, essayez donc de le relire en trouvant, pour chaque deuxième vers de chaque strophe, une rime non plus avec le dernier vers mais avec le premier. Ca vient très facilement.

C'est pas très gentil ne nous prouver qu'on a l'esprit très mal placé...

D'un autre côté, mon cher Baron, rappelle-toi que tu fus élu plus grand dégueulasse de l'été 2004 !
Avais-tu vraiment besoin qu'on te prouve à quel point tu as l'esprit mal placé ?

Je sais bien mais tu ne peux pas nier que comme moi tu as trouvé toutes les rimes de la chanson sans aucune difficultée. Ne nie pas je ne te croirais pas

je ne vous ferai pas l'affront de vous mettre les paroles de jeannetons...

Baron Archibald a écrit:

Je sais bien mais tu ne peux pas nier que comme moi tu as trouvé toutes les rimes de la chanson sans aucune difficultée. Ne nie pas je ne te croirais pas

Hé, je suis quand même troisième lauréate sur le podium des grands dégueulasses, je te rappelle !

Eredena a écrit:

Hé, je suis quand même troisième lauréate sur le podium des grands dégueulasses, je te rappelle !

Je ne veux même pas savoir de quoi vous parlez...

Dans notre ville est venu (bis)
Un fameux joueur de luth (bis)
Pour attirer la pratique
Il a mis sur sa boutique :
« C’est ici qu’, pour un écu,
On apprend à jouer de l’épinette,
C’est ici qu’, pour un écu,
On apprend à jouer du … »

Refrain
Trou la la, trou la la, trou la, trou la, trou la laire
Trou la la, trou la la, trou la, trou la, trou la la.

Toutes les fill’s de Paris (bis)
De Versaill’s, de Saint-Denis (bis)
Ont vendu leur chemisette,
Leurs jarr’tièr’s, leurs collerettes
Afin d’avoir un écu
Pour apprendr’ à jouer de l’épinette …

Un’ jeun’ fill’ se présenta (bis)
Qui, des leçons, demanda (bis)
« Ah ! Que tes leçons sont bonnes
Il faudrat que tu m’en r’donnes ;
Tiens voilà mon p’tit écu
Pour apprendr’ à jouer de l’épinette … »

Une viell’ aux cheveux gris (bis)
Voulut en tâter aussi. (bis)
« Par la porte de derrière,
Fait’s-moi passer la première
T’nez, voilà mon vieil écu,
Pour apprendr’ à jouer de l’épinette … »

« Vielle retournez-vous en (bis)
Et remportez votr’ argent (bis)
Car ce n’est pas à votr’ âge
Qu’on entr’ en apprentissage
Vous avez trop attendu
Pour apprendr’ à jouer de l’épinette… »

La vieill’ en se retournant (bis)
Marmonnait entre ses dents : (bis)
« Ah ! Vous me la baillez belle
De me croire enco’ pucelle
Voilà cinquant’ ans et plus
Que je sais jouer de l’épinette… »

La morale de ceci (bis)
Je vais vous la dire ici : (bis)
C’est quand on est jeune et belle
Il n’ faut pas rester pucelle.
Faut donner son p’tit écu
Pour apprendr’ à jouer de m’épinette …

Gwyonn.Bach a écrit:

Eredena a écrit:

Hé, je suis quand même troisième lauréate sur le podium des grands dégueulasses, je te rappelle !

Je ne veux même pas savoir de quoi vous parlez...

Cet été j'ai invité Archibald, ainsi que Miminouillou, la Pupuce, et Honorata, à passer quelques jours dans ma somptueuse résidence de Bretagne(on ne rigole pas là-derrière, parfaitement que c'est une somptueuse résidence). Il se trouve que nous avons, à la fin du séjour, distribué des prix à ceux qui avaient eu l'esprit le plus mal placé et/ou fait le plus d'allusions scabreuses et/ou raconté franchement des trucs carrément immondes à connotation sexuelle.

Je suis très fière de vous annoncer que notre cher Baron fut élu à l'unaminité générale 1er Grand Dégueulasse de l'été, reléguant à la deuxième place Lumimi dont c'est pourtant un grand terrain de compétence. Je fus moi-même sur la troisième marche du podium avec une mention spéciale hypocrite décernée par Pupuce ( j'adore prendre un air dégouté et faire des simagrées, juste avant de sortir un truc encore plus dégueulasse surpassant de loin ce sur quoi je minaudais ). En quatrième position, notre chère Honorata, et enfin la Pupuce.

A noter qu'il fut décerné le prix spécial du jury à mon très cher frère que vous ne connaissez pas, afin de récompenser la puissance , le coffre et la sonorité absolument monstrueuse de ses renvois gastriques qu'il provoque à volonté et exécute avec beaucoup de talent, tant et si bien que la capitainerie du port pourrait se passer de corne de brume si elle l'engageait ( hé oui, c'est mon frère... mon frère... quoique... peut-être qu'on l'a trouvé dans une poubelle... Maman, est-ce que... )

Eredena a écrit:

Gwyonn.Bach a écrit:

Eredena a écrit:

Hé, je suis quand même troisième lauréate sur le podium des grands dégueulasses, je te rappelle !

Je ne veux même pas savoir de quoi vous parlez...

Bla... Bla... Bla...

Méheuuuu, j'avais dit que je ne voulais pas savoir....

Je sais bien. C'est justement parce que je suis très contrariante de nature que je te le dis pour que tu le saches.

Eredena a écrit:

Je sais bien. C'est justement parce que je suis très contrariante de nature que je te le dis pour que tu le saches.

M'en doute bien, c'est justement pour pas que tu t'abstienes de le dire que je me suis empressé de dire que je ne voulais pas que tu le dises ou inversement du contraire, je ne sais plus trop

figure-toi que je ne le savais pas non plus, que tu étais contrariante. Dis donc, chui soufflée... toi contrariante? Naaaaaaaaaan, penses-tu pas le moins du monde...

Technopupuce à son lumi a écrit:

figure-toi que je ne le savais pas non plus, que tu étais contrariante. Dis donc, chui soufflée... toi contrariante? Naaaaaaaaaan, penses-tu pas le moins du monde...

Ne sentirais point un trait sarcastique sortir de votre bouche gente dame ?

T'inquiète, elle se fout de ma gueule, comme d'habitude. Ca ne me fait plus aucun effet depuis longtemps, longtemps...

hihi, sarcastique? Moi? Naaaaaaaaaaan pas le moins du monde non plus.

Technopupuce à son lumi a écrit:

hihi, sarcastique? Moi? Naaaaaaaaaaan pas le moins du monde non plus.

De ce que j'ai retiendu des propos de Dame Eredena me semble que ce n'est pas ton trait de caractère le plus évident, mais je me trompe sans doute...

Technopupuce à son lumi a écrit:

joker...

NON NON ET NON!!!!
mais où sont les chanson paillardes qui me font pousser des hurlements en pleins cours de méca? Faites un effort, zut alors

Bon allez un classique indémodable dont on ne sa lasse jamais!

La digue du cul, en revenant de Nantes (bis)
De Nantes à Montaigu, la digue, la digue,
De Nantes à Montaigu, la digue du cul.

La digue du cul, je rencontre une belle (bis)
Qui dormait le cul nu, la digue, la digue,
Qui dormait le cul nu, la digue du cul.

La digue du cul, je bande mon arbalète (bis)
Et lui fout droit dans l' cul, la digue, la digue,
Et lui fout droit dans l' cul, la digue du cul.

La digue du cul, la garce se réveille (bis)
Et dit: "J'ai l' diable au cul", la digue, la digue,
Et dit: "J'ai l' diable au cul", la digue du cul

La digue du cul, non, ce n'est pas le diable ( bis)
Mais un beau dard poilu, la digue, la digue,
Mais un beau dard poilu, la digue du cul

La digue du cul, qui bande et qui décharge(bis)
Et qui t'en fout plein l' cul, la digue, la digue,
Et qui t'en fout plein l' cul, la digue du cul

La digue du cul, il y est qu'il y reste (bis)
Et qu'il n'en sorte plus, la digue, la digue,
Et qu'il n'en sorte plus, la digue du cul

La digue du cul, la morale pour les dames(bis)
Faut dormir le cul nu, la digue, la digue,
Faut dormir le cul nu, la digue du cul

Nous dormirons le cul nu
Vous dormirez le cul nu
Nous dormirons le cul nu
Vous dormirez le cul nu
Le cul nu(x7)

Ne ferait il pas un peu froid pour dormir cul nu ces tems ci ???